PROCHAINES DATES
Témoignage de Stéphane CESCA , ancien stagiaire du BP REA aquaculture présentiel (session : 2007-2008) du CFPPA de Valdoie
Aquaculture tropicale
Son témoignage :
""Au cours de mes études à Strasbourg, je rencontre un ivoirien, nous devons amis, et celui-ci me propose en 1997 de créer une coopérative piscicole.
Cette même année, il suit la formation de BP REA à Valdoie. De 1998 à 2003, je suis directeur de la coopérative en Côte d'Ivoire sur un site de 2,5 hectares dédiés à la production de tilapia (Oreochromis niloticus) pour le marché local. Des difficultés économiques et politiques (coup d'état) m'ont contraint à revenir en France bien décidé à suivre une formation sérieuse en aquaculture car ce métier plein d'avenir me passionne.
Lors de ma formation : Les difficultés rencontrées en Côte d'Ivoire mortalité lors de la production...ont mis en évidence mon manque de connaissances aquacoles. De retour en France, après 4 ans de travail en intérim, je bénéficie d'un « congé individuel de formation » et m'inscrit à Valdoie. La formation que j'ai reçue a répondu à mes attentes d'autant d'un point de vue théorique (chimie de l'eau, biologie...) que d'un point de vue pratique (pêche d'étangs, reproduction naturelle assistée, CACES mini-pelle,...).
Cependant à l'issue de cette formation je n'ai pas trouvé d'emploi dans une structure aquacole et mon projet était de créer un site de production en Côte d'Ivoire.
Après ma formation : J'ai repris le travail en intérim puis en CDD pendant 2 ans avant de bénéficier d'un nouveau « congé individuel de formation » et de m'inscrire au CREUFOP de Montpellier en DU de Technicien Spécialisé en Aquaculture diplôme que j'ai obtenu en 2012. Actuellement je travaille sur un projet d'école d'aquaculture en Tanzanie sur l'île d'Ukerewe où lors de mon stage j'ai conçu un site de 4500m² en eau dédié à l'élevage de tilapia. Je suis convaincu que ce type d'activité peut répondre à une demande économique (pour les populations locales en leur fournissant une activité rentable) écologique (lutte contre la sur-pêche et la raréfaction du poisson sur les marchés locaux) et enfin sociale (en maîtrisant le coût de production on peut faire baisser le prix de vente et ainsi rendre le produit accessible à une majorité de consommateurs).""
""Au cours de mes études à Strasbourg, je rencontre un ivoirien, nous devons amis, et celui-ci me propose en 1997 de créer une coopérative piscicole.
Cette même année, il suit la formation de BP REA à Valdoie. De 1998 à 2003, je suis directeur de la coopérative en Côte d'Ivoire sur un site de 2,5 hectares dédiés à la production de tilapia (Oreochromis niloticus) pour le marché local. Des difficultés économiques et politiques (coup d'état) m'ont contraint à revenir en France bien décidé à suivre une formation sérieuse en aquaculture car ce métier plein d'avenir me passionne.
Lors de ma formation : Les difficultés rencontrées en Côte d'Ivoire mortalité lors de la production...ont mis en évidence mon manque de connaissances aquacoles. De retour en France, après 4 ans de travail en intérim, je bénéficie d'un « congé individuel de formation » et m'inscrit à Valdoie. La formation que j'ai reçue a répondu à mes attentes d'autant d'un point de vue théorique (chimie de l'eau, biologie...) que d'un point de vue pratique (pêche d'étangs, reproduction naturelle assistée, CACES mini-pelle,...).
Cependant à l'issue de cette formation je n'ai pas trouvé d'emploi dans une structure aquacole et mon projet était de créer un site de production en Côte d'Ivoire.
Après ma formation : J'ai repris le travail en intérim puis en CDD pendant 2 ans avant de bénéficier d'un nouveau « congé individuel de formation » et de m'inscrire au CREUFOP de Montpellier en DU de Technicien Spécialisé en Aquaculture diplôme que j'ai obtenu en 2012. Actuellement je travaille sur un projet d'école d'aquaculture en Tanzanie sur l'île d'Ukerewe où lors de mon stage j'ai conçu un site de 4500m² en eau dédié à l'élevage de tilapia. Je suis convaincu que ce type d'activité peut répondre à une demande économique (pour les populations locales en leur fournissant une activité rentable) écologique (lutte contre la sur-pêche et la raréfaction du poisson sur les marchés locaux) et enfin sociale (en maîtrisant le coût de production on peut faire baisser le prix de vente et ainsi rendre le produit accessible à une majorité de consommateurs).""
